Rencontres et comparaisons entre diverses formes de réalisation des intermédialités artistiques ou non. De quoi l'intermédialité est elle le nom? A travers ces échanges on essaiera d'approcher une définition de l'intermédialité, de ses enjeux et des perspectives qui s 'ouvrent grâce aux phénomènes de remédiation identifiés par Bolter et Grusin), de polymodalité (Gibbons) , toutes pratiques rendues possible depuis l'utilisation massive et générale pour et par tous des moyens de communication multi media digitaux grâce à la diffusion des nouveaux moyens de communication et de création.

 Cette journée d’étude rassemblera des chercheurs internationaux qui vont s’interroger et débattre sur les phénomènes, les modes de réalisation et d’action de ce que l’on nomme désormais l’intermédialité.
Les modaliés de ces pratiques relèvent de toutes sortes de domaines artistiques et non artistiques qui combinent différents médias, différentes disciplines artitiques mettant en realtion, un texte et une image, un texte et de la musique et de l’image (fixe ou pas). Que l’on songe au cinéma, au théâtre, aux jeux vidéos, aux réseaux sociaux.
Pratiques remontant à la plus haute antiquité, on retrouvera ici des interventions de natures et de siècles différents comme les merveilleuses gravures de Gustave Doré imaginant Rabelais, les divers avatars de l’illustration du livre, le roman graphique et la question de la pollution de l’eau, et enfin la poésie et la relation à l’art des images de la célèbre écrivaine britannique, Angela Carter, amatrice de contes cruels.

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